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En attendant...

31 décembre 2006

Que du Bonheur...

.... si vous le souhaitez...

... j'ai plaisir à vous transmettre le cadeau que je viens de recevoir... que vôtre usage en soit aussi excellent que le mien...

"POUVOIR ILLIMITE" de ANTHONY ROBBINS http://www.anthonyrobbinseurope.com/

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BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2007

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30 novembre 2006

A So...

Un jour, l'Amour vint trouver l'Amitié et lui dit : "Pourquoi existes-tu ?"
l'Amitié répondit gentiment : "C'est pour sécher les larmes que tu fais couler..."

20 novembre 2006

... larguer les amarres...

Je vais fransquillonner…

… aligner des mots les uns derrière les autres, encore…  ils auront pris leur envol et vie, dès que j’aurai appuyer sur : envoyer…

… je t’aime… je t’ai aimé… passionnément…

…c’est fini, je ne veux plus, je ne peux plus… aimer à sens unique, cela n’a aucun sens, cela n’a qu’un sens…

… et ce n’est pas ainsi que je veux vivre, je veux vivre d’intensité, de passion, de partage, d’amour, toujours… et cela tu ne le veux pas, tu ne le ressens pas…

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FIN...

17 novembre 2006

Mon portrait astrologique...

Une amie m'a offert ce portrait... me disant que j'étais ... en chiffre 9... sourires...

Vous possédez une intelligence très vive, douée d'une grande lucidité. Vous récusez sans complexe toutes les valeurs fausses ou artificielles. Vous allez droit au but sans vous encombrer de fioritures. Votre curiosité éclectique vous dote d'une approche humaine et, parfois, humaniste du monde. Vous avez aussi la faculté de coller au futur, lorsque celui-ci se matérialise dans le concret, en vous intéressant aux découvertes modernes ou en vous adaptant aux techniques de pointe.
Principalement porté vers l'avenir, vous êtes souvent en avance sur votre temps. Votre Nombre est celui des grands changements, des grandes mutations, de l'expérience. Cela explique votre extrême indépendance et votre quasi-impossibilité à vous engager dans une aventure qui ne déboucherait pas sur le futur.
La nature vous dote d'une habileté
 extraordinaire. Votre esprit d'invention et votre faculté d'aller au coeur des choses vous font faire souvent des miracles. Il est en effet dans vos habitudes de résoudre en un tour de main des problèmes qu'on croyait pratiquement insolubles. On pourrait penser que, pour vous, il n'y a jamais de problèmes, il n'y a que des solutions !
Il est bien peu de choses que vous prenez réellement au sérieux. Vous aimez à vous moquer de tout et de tous, et surtout de vous-même. Chez vous, la tendance à la désacralisation est la règle plutôt qu'une exception. Ayant le sens de l'humour très développé et le rire facile, vous refusez de prendre quoi que ce soit au tragique et cherchez obstinément à envisager le côté drôle de la vie. Il est jamais ennuyeux de vivre avec vous, d'autant plus que vous êtes tolérant et compréhensif.
D'aucuns pourraient penser que vous êtes fantasque, mais en réalité vous êtes résolument original jusqu'à l'extravagance : vous êtes insensible au qu'en-dira-t-on et n'avez pas peur de rester vous-même.
Votre non-conformisme frise parfois l'insolence ou le je-m'en-fichisme. Vous ne faites nullement partie de ceux qui se battent ou meurent pour des principes. Vous n'avez qu'un souci : vivre comme bon vous semble, en subissant le moins de contraintes possible et en profitant au maximum de la vie et de ses imprévus. Si l'on vous accusait d'être immoral avec une conscience apparemment extensible, vous vous défendriez en disant que vous n'êtes qu'amoral.
Possédant un grand magnétisme, vous excellez dans l'art de plaire, de charmer, de gagner les sympathies, de négocier, de convaincre. Avisé, vous obtenez très souvent ce que vous attendez des autres.
En société, vous avez tendance à vous lier trop facilement, à accorder votre confiance à n'importe qui. L'amitié est pour vous chose sacrée, et vous la cultivez avec assiduité et dévotion. Mais vous devez apprendre à vous méfier de relations douteuses ou de faux amis, qui pourraient vous faire beaucoup de mal.

... merci ma Chéribelle...

4 octobre 2006

...s'Enfuir... ne plus revenir...

… Robinsons sur notre île…

… presque déserte,

… privilégiés de tant de richesses… naturelles…

  les Dieux sont avec nous… puisque réunissant tant d’âmes, de caractères différents… les esprits sont bon enfants…

… rires et sourires…

…humeurs légères, ensoleillées, rafraîchies par le vent salé…

…l’eau transparente du lagon nous accueille … apaisante…

… le stress est loin…

… le ressenti…  divin…

… l’horizon … comme pour nous rappeler que tout a une fin… se peint de tons bigarrés… du rose au pourpre, se teintant d’orangé…  l’astre disparaît… le brun s’impose…

… scintillements sur Porto-Vecchio… ville aux accents traînants surplombant son port accueillant…

… chaque pierre, chaque arbre racontent une histoire…

… envie de flâner, sans penser…

  seulement… regarder, graver, … tout prendre, ne rien laisser échapper… carpe diem …

  Place de l’Eglise… un arbre plus que millénaire…  Eux  … Nous… et cette douceur de vivre…  l’horloge ne s’est pas arrêtée, notre temps ne nous est plus compté…

… sauf pour aller dîner … après une ronde autour du pot de l’Amitié…

  dîner : n’est pas mon mot préféré…

Pourtant, décorum et mets étaient fort raffinés…

… plaisir pour nos palais…

… joyeuse soirée, animée…. Seul le fond de l’air était … frais… mais si parfumé…

… la mer perlée…

… repos mérité…

… rêves de future journée…SPA51364

… réveil matinal… pour une journée presque estivale…

… le bateau nous attend, le capitaine n’est point le buriné promis… mais un jeune homme… que nous espérons… aguerrit …

… mer calme, ciel bleu…


… des milliers d’étoiles semblent s’accrocher à la mer…

… ne voulant pas rejoindre les cieux… nous traçant le chemin…

  faisant luire ce sillon argenté …

… né des rayons du soleil, se couchant sur cette immensité azur …

… l’air du large nous rosit le visage… vivifie nos corps… tonifie nos esprits…

… les cartes postales défilant sous nos yeux… nous enchantent... nous évoquent des souvenirs… bons, mauvais… nul n’est indifférent…

... tous sur le même bateau…

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4 octobre 2006

... Evasion... Escapade...

SPA51402… monter à bord, magie d’une première nuit à bord, partage d’une nuit étoilée, se délecter de bulles d’or pour fêter une année de plus, rires et sourires, laisser à quai les vies et proches, parenthèses des préoccupations quotidiennes, ivresse marine, embruns… bonheur simple…

… corps bercés pour un réveil frais et impatient… terre, terre… l’île de beauté paraît dans une brume blafarde… tout peut arriver…

… Bastia… fuir vers un endroit de désir, accueillant nos délires… dans de grands fous rires… Crazy…

… direction Porto Vecchio … notre équipage prit le chemin des écoliers... partie d’un convoi, nous avons rejoint notre point de chute… seuls !!! de plages en villages, jouant à saute mouton… sourires… découvrant des paysages que seul le hasard pouvait nous offrir…

… Santa Giulia… Costa Verde… petit paradis sur l’île… seuls les yeux et la mémoire peuvent décrire tant de beauté… surprenant dépaysement… dans ce pays il faut s’attendre à tout, et même ainsi, la surprise est toujours là…

… baie turquoise, sable blanc, rocs bruns orangés, effluves d’eucalyptus et de pins…

25 septembre 2006

Réelle ou virtuelle ?

Je ne suis pas un jouet

Je ne suis pas une poupée

Je suis un être vivant

Avec des sentiments

Pourquoi me faire souffrir ?

En éprouvez vous du plaisir ?55922_294776558_p1100_56k_H102057_L

J’ai beau réfléchir,

Pourquoi toujours revenir ?

Que vous ne m’aimiez pas…

Je peux comprendre cela

mais quelles sont vos motivations ?

pour me faire toujours revivre cette situation

vous faîtes un pas en avant

vous approchez, très prévenant

sans trop vous déclarer,

prudent, vous vous faîtes aimer

pour ensuite ,

prendre la fuite…

ne rien promettre

ne pas se soumettre

pas d’avenir

juste du plaisir

seulement virtuel

la belle est irréelle

connexion

apparition

toujours présente

lassante, voire exigeante

rien ne vous retient

rien, aucun lien

elle vous a expliqué

comment la machine fonctionnait

prise à son propre jeu

seriez vous enfin .. heureux ?

voilà la belle… bloquée

hors ligne… enfin la paix !

24 septembre 2006

... survivre...

.... bienvenue au pays des vivants!!

asteroB612



Ce dimanche est bien automnal avec la pluie ., et les souvenirs qui vont de pair....  l'attente d'un retour....

A la base ce n'est pas l'amour qui rend dingue et dépendant à ce point là, mais la passion. Tout égoïsme est écarté …, puisque quand la passion est là, on se voue complètement à l'autre....

Alors commencent les ennuis....

... Lorsque l'un des 2 voit sa passion s'atténuer, il commence à prendre le large pour ne pas dire rompre.

...Il devient egoiste pour se tourner vers lui même et non plus vers l'autre....

La passion rend aveugle et provoque la fusion. On n'existe qu'à travers le regard de l'autre et que pour l'autre ... et on aimerait que l'autre réagisse de la même façon.

Néanmoins, il arrive que l'autre voit sa passion s'atténuer pour aimer "normalement" et en amour on ne fusionne pas. On donne... mais on continue de penser à soi.

...Si l'autre n'a toujours pas passé le cap de la passion, il y aura un décalage. Il va se sentir rejeté, moins aimé, et va commencer à devenir étouffant. Ce qui fait fuir le conjoint amoureux qui lui s'est réveillé depuis longtemps du passage passionnel, et qui ne capte pas pourquoi l'autre se voue entièrement à lui sans penser à lui-même.

Comprenons,
la douleur d'une rupture passe d'abord par le fait de se réaffirmer soi, en tant que soi, et non plus à travers l'autre. On déprime car on n'est plus le 1er dans les yeux de l'autre, et c'est extrêmement dur .

Il faut cesser de penser à son égo qui n'est autre que l'image que l'on donne aux gens et à son prince. Il faut se libérer de son égo pour se réaffirmer soi et cesser d'avoir besoin de l'autre pour exister. 

Alors que si l'on suit son propre chemin de façon indépendante, que l'on pense un peu plus à soi en se valorisant seule devant un miroir et non plus grâce à une parole magique du bien-aimé, on a franchi une sacré étape.

Et cette liberté là permet d'aimer!

Ne jamais oublier, pour aimer l'autre et le comprendre, il faut s'aimer soi et cesser de penser que l'autre est comme nous ( la passion rend aveugle).

Et le jour où enfin cette dépendance tombe , où l'on commence à vivre pour soi même , et non plus pour les autres , ou grâce aux autres, on est devenu adulte, et l' homme a moins peur...

Il est sans doute immature parfois mais a très peur de l'émotivité d'une femme.

Il préfèrera une femme un peu distante mais équilibrée, qui vit très bien sans lui, plutôt qu'une fille accro à ses basques, et qui ne peut vivre sans lui
L'homme moderne a déjà pas mal de pression à assurer, un job qui lui fera gonfler son égo justement!

Alors si en plus quand il rentre chez lui , il trouve une pression supplémentaire, quand sa moitié lui fait comprendre qu'elle mourrait sans lui, c'est la panique!

Je ne fonce plus, je me protège et ne pense plus qu'à moi...en ne perdant pas de vue quelque chose d'essentiel, si l'autre nous aime vraiment après nous avoir quittées, c'est à lui de revenir, et sûrement pas à nous d'aller lui demander la charité et de l'attendre en pleurant derrière le téléphone.

... coups de blues,  ne les rappelez pas! faîtes vous belles , stoppez votre TV ... appelez vos ami(e)s ... , sortez et faites vous plaisir!!! On vit très bien sans l'autre...si, si même moi j'ai faillit ne plus y croire!

Rappelez vous, depuis que le cordon a été coupé à la naissance, vous êtes encore vivants (es) non ???

22 août 2006

Aimer, le terme paraît si familier... J'aime ma

Aimer, le terme paraît si familier... J'aime ma femme au même titre que j'aime les éclairs au chocolat... ? Le mot est usité dans nombre de contextes... On aime, on aime pas... Passons la définition du dictionnaire. Et lorsqu'on y réfléchit réellement, a-t-on une définition de ce terme ? On évoque des sentiments, des sensations, des émotions... rien de bien concrêt en fait. Pourtant chacun de nous utilise ce terme dans la vie quotidienne. Un homme a besoin de se sentir aimé, une femme également, mais le besoin réside dans le simple fait de prononcer cette phrase : «je t'aime». Populairement, il est dit que lorsque l'on sait pourquoi on aime quelqu'un, le sentiment n'est plus. J'aime... je ne sais pas pourquoi... et c'est pour cela que j'aime.............

Du côté de la psychanalyse le sentiment amoureux, aimer plus précisément nous amène à d'autres chemins, plus ternes, moins «beaux» peut être...

Prenons un homme et une femme. Ils s'aiment. Mais qui aime qui ? L'homme aime la femme parce qu'elle lui renvoit une image de lui qu'il aime. Ce n'est pas l'autre que l'on aime mais soi au travers de l'autre. Egoiste ? Non ! Réciproquement la femme aimera l'autre en fonction de cette image qui lui plait à recevoir de l'homme. On en revient au phénomène du miroir. L'autre est un miroir de soi, il nous renvoit une image, bien souvent inconnu, inconsciente pourrait-on dire..............

Il y a bien sûr «plaire» au sens physique. Une femme plait à un homme parce qu'elle rentre dans les critères de beauté qu'il a lui-même developpé au cours du temps, depuis sa toute petite enfance pour être plus précis. D'aucun verront des critères élaborés sur le modèle de sa mère, mais le sujet n'est pas là. La femme qui plait, donc, sur des aspects purement physique, représente une projection réelle d'une image façonnée à l'intérieur de soi. Plus la femme que l'on regardera se rapprochera de ce «portait-type» plus l'homme sera attiré par elle. La réciproque est une fois plus vraie à l'égard de la femme à l'encontre d'un homme........

Lorsque les êtres se rapprochent, physiquement, je parle alors de proximité sans contact, rentre en compte des phénomènes hormonaux : phéromones et autres... Lorsqu'un dialogue s'enclenche, on «apprend» à connaître l'autre. En vérité, on vérifie que l'autre répond bien à certains critères. Ceux-ci, au-delà de l'aspect physique, sont aussi créés au cours du temps. Ils correspondent à une image de soi transposée dans l'autre sexe. Un homme de forte corpulence pourra être attiré par une femme très mince ou se rapprochant de son propre physique, tout dépend de la projection de soi qu'il a effectué dans son «image» de lui féminine.

Pour s'aimer soi, il faut d'abord aimer l'autre

Autrement dit, et même si cela semble choquer, si un homme est attiré par une femme, c'est avant tout parce que la réciproque est vraie. La nature est quelque fois bien faite, inconscient, on ne rapproche jamais d'une personne à qui on ne pourrait renvoyer un sentiment identique à celui que l'on perçoit. Jamais, dans le sens où la névrose de l'individu ne consiste pas justement à être attiré par des chimères, où le masochisme de la rencontre n'est pas présent. Quant une femme se sent attirée par un homme et que dans le quotidien rien ne se fait pour que les deux êtres se rapprochent, c'est qu'il y a erreur de la démarche. Bien souvent, l'individu réfléchit à comment approcher l'autre, comment plaire à l'autre. Faire les choses en fonction de l'autre conduit en général dans une impasse. Si j'offre des fleurs parce que je sais qu'elle aime les fleurs, alors qu'il ne s'agit pas d'une envie profonde m'appartenant, le résultat risque d'être décevant. Pourtant c'est la démarche de la majeure partie des gens. Pour que le NOUS existe, il faut d'abord privilégier le JE. S'écouter soi, ses envies par rapport à l'autre, se faire plaisir au travers de l'autre. Si mon envie consiste à offrir une boîte de ravioli à celle que je «postule», c'est cette envie qu'il faut suivre sans se soucier de la réaction de l'autre. A trop «se mettre à la place de l'autre», à chercher à comprendre comment va réagir l'autre, on en oublie le principal : soi. Soi et sa propre existence peuplée de désirs de l'autre. Or si l'on raisonne avec ce phénomène de miroir, si je fais en fonction de l'autre je ne renvois aucune image, celle susceptible justement de «convenir» à l'autre, de plaire. La démarche doit être entièrement personnelle, ne penser qu'à soi parce que précisément l'autre entreprend la même démarche, et ce sont ces deux combinés qui permettent le rapprochement. Le NOUS est une addition de deux JE et non pas chacun des JE faisant en fonction de l'autre. Chacun doit garder sa personnalité propre, le JE ne doit pas devenir un JEU censé séduire voire capturer l'autre. Ce type de relation ne mène en général guère loin.

Lorsque les couples se défont, c'est que l'une des images, et bien souvent les deux, renvoyés par chacun ne «conviennent» plus. L'image de soi renvoyée par l'autre ne correspond plus à soi. Il y a donc rupture dans tous les sens du terme.........

20 août 2006

....

« Pour juger quelqu'un, il faut le comprendre. Et lorsque vous l'avez compris, vous n'avez plus le droit de le juger ! »

Charles Lassaux

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